L’occupation Ebola — 1 an passé mais rien à célébrer ?

issatou et son enfant dormaient dans la rue jusqu'au jour ou elle a trouver refuge dans un bâtiment à Place Quetelet de Saint-Josse.

Ais­sa­tou et son enfant dor­maient dans la rue jus­qu’au jour ou elle a trou­ver refuge dans un bâti­ment à Place Que­te­let de Saint-Josse. Depuis jan­vier 2015 des sans papiers venant de la Gui­née, du Sier­ra Leone et du Libe­ria, les trois pays tou­chés par le virus Ebo­la, occupent ce bâti­ment du col­lec­tif EBOLA. Le 4 février 2016, les membres du col­lec­tif ont mar­ché à tra­vers les rues de Bruxelles pour “fêter” le 1er anni­ver­saire de l’occupation.

Le virus Ebo­la a désta­bi­li­sé les 3 pays, en plus de la guerre et la répres­sion. Ils se retrouvent dans l’in­ca­pa­ci­té de retour­ner dans leurs pays, ils réclament le res­pect des droits de l’en­fant, les droits d’a­sile ain­si leurs droits fon­da­men­taux mais aus­si l’ar­rêt des expul­sions et la régu­la­ri­sa­tion des tous les sans papiers.

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