MERCREDI 17 MARS — 18:00
Carte blanche au Collectif Jeune Cinéma.
Animé par Théo Deliyannis, administrateur et coordinateur général du Collectif Jeune Cinéma.
Carte blanche au Collectif Jeune Cinéma.
Animé par Théo Deliyannis, administrateur et coordinateur général du Collectif Jeune Cinéma.
Séance en ligne sur festivalscope.com
Gratuit sur réservation 1h avant la séance sur https://21.journees-cinematographiques.fr/
Gratuit sur réservation 1h avant la séance sur https://21.journees-cinematographiques.fr/
C’EST COMME ÇA QUE LES CAUCHEMARS ONT COMMENCÉ
de Alexandru Petru Badelita
Roumanie/2019/couleur/7’
Une introspection poétique sur la peur de la mort et sur la façon dont cette peur peut nous garder prisonnier du passé.
de Alexandru Petru Badelita
Roumanie/2019/couleur/7’
Une introspection poétique sur la peur de la mort et sur la façon dont cette peur peut nous garder prisonnier du passé.
TURTLE DREAMS
de Robert Withers et Meredith Monk
États-Unis/1987/noir et blanc/11’
Musique de Meredith Monk
Une tortue émerge d’une forêt primitive puis traverse une carte du monde pour finalement débarquer au beau milieu d’une maquette qui semble destinée à figurer dans un film de monstres japonais.
de Robert Withers et Meredith Monk
États-Unis/1987/noir et blanc/11’
Musique de Meredith Monk
Une tortue émerge d’une forêt primitive puis traverse une carte du monde pour finalement débarquer au beau milieu d’une maquette qui semble destinée à figurer dans un film de monstres japonais.
NIGHT NOON
de Shambhavi Kaul
Inde-États-Unis/2014/couleur/12’
« Nous voyons cette créature d’abord dans l’ombre, comme si elle n’était que le compagnon d’une conscience humaine. Mais non, le chien est notre point d’identification, il est peut-être « nous ». On voit alors cet espace altéré et cette géographie imaginaire depuis le point de vue d’un être à quatre pattes, on nous demande de le considérer comme un champ de mouvement et de négociation. Il faut accepter de ne pas pouvoir le maîtriser à l’aide de concepts connus. »
Michael Sicinski, MUBI Notebook, 2014
de Shambhavi Kaul
Inde-États-Unis/2014/couleur/12’
« Nous voyons cette créature d’abord dans l’ombre, comme si elle n’était que le compagnon d’une conscience humaine. Mais non, le chien est notre point d’identification, il est peut-être « nous ». On voit alors cet espace altéré et cette géographie imaginaire depuis le point de vue d’un être à quatre pattes, on nous demande de le considérer comme un champ de mouvement et de négociation. Il faut accepter de ne pas pouvoir le maîtriser à l’aide de concepts connus. »
Michael Sicinski, MUBI Notebook, 2014
UNDERGROWTH
de Roberd Todd
États-Unis/2011/couleur/12’
Plumes, feuillage, fleurs, écorce d’arbre. Un prédateur aveugle rêve à travers les yeux de sa proie.
de Roberd Todd
États-Unis/2011/couleur/12’
Plumes, feuillage, fleurs, écorce d’arbre. Un prédateur aveugle rêve à travers les yeux de sa proie.
ELEGY
de Anthea Kennedy et Ian Wiblin
Royaume-Uni/2001/noir et blanc/4’
Un film dédié à un chat. Il dépeint son univers nocturne tel que nous l’imaginons.
de Anthea Kennedy et Ian Wiblin
Royaume-Uni/2001/noir et blanc/4’
Un film dédié à un chat. Il dépeint son univers nocturne tel que nous l’imaginons.
À PROPOS DU COLLECTIF JEUNE CINÉMA
Le Collectif Jeune Cinéma est une structure de diffusion et de distribution des pratiques expérimentales de l’image et du film, créée en 1971, et qui célèbre cette année ses 50 ans d’existence. Les films de ce programme, de différentes époques et zones géographiques, développent plusieurs approches de nos rapports aux animaux. Les bêtes comme réceptacles d’un trauma, d’une perte, mais aussi comme figures autonomes, quasi robinsonesques ayant une existence propre au-delà de notre regard, si ce n’est celui de la caméra. Tous ces films explorent un regard triple, humain, animal, machinique, qu’il combineront et agenceront dans le but de créer une certaine harmonie.
Le Collectif Jeune Cinéma est une structure de diffusion et de distribution des pratiques expérimentales de l’image et du film, créée en 1971, et qui célèbre cette année ses 50 ans d’existence. Les films de ce programme, de différentes époques et zones géographiques, développent plusieurs approches de nos rapports aux animaux. Les bêtes comme réceptacles d’un trauma, d’une perte, mais aussi comme figures autonomes, quasi robinsonesques ayant une existence propre au-delà de notre regard, si ce n’est celui de la caméra. Tous ces films explorent un regard triple, humain, animal, machinique, qu’il combineront et agenceront dans le but de créer une certaine harmonie.