À l’occasion de la sortie du dernier numéro de la revue Dissidences (http://revuesshs.u‑bourgogne.fr/dissidences/), deux soirées sont organisées autour des luttes syndicales menées et la manière dont celles-ci ont été adaptées au cinéma.
Programme complet (p.6): http://www.nova-cinema.org/IMG/pdf/nova_133_web.pdf
Cinéma nova, rue d’Arenberg 3 — 1000 Bruxelles
Jeudi 6 décembre à 20h00
Filmer les luttes ouvrières belges dans les années 30
Henri Storck – Jean Fonteyne
Débat avec :
José Gotovitch, spécialiste du communisme belge et auteur notamment de Du communisme et des communistes en Belgique. Approches critiques*, Bruxelles, 2012, Aden
Jean Lemaître, auteur de C’est un joli nom, camarade. Jean Fonteyne*, avocat de l’Internationale communiste, Bruxelles, 2012, Aden
Films :
Henri Storck, Sur les bords de la caméra (1932)
Jean Fonteyne et Albert Van Ommeslaghe, Journée Tayenne — 9 juillet 1933 (1933)
Joris Ivens et Henri Storck, Misère au Borinage (1933)
Jean Fonteyne, Autour du Borinage (1933 – 36)
* Voir http://dissidences.hypotheses.org/494 et http://dissidences.hypotheses.org/490
Samedi 15 décembre à 19h00
Les syndicalismes. Dans l’horizon révolutionnaire
À l’heure où dans le syndicalisme ressurgissent des formes d’action empruntant au répertoire du syndicalisme révolutionnaire et alors que, dans le même temps, l’orientation réformiste des grandes centrales ne cesse de s’affirmer, la revue Dissidences fait retour sur l’histoire bigarrée des syndicalismes dans l’horizon révolutionnaire du 20ème siècle.
Débat avec :
Vincent Chambarlhac et David Hamelin, coordinateurs du numéro
Francine Bolle, Assistante à l’Université Libre de Bruxelles, collaboratrice du numéro
En collaboration avec Métices (Université Libre de Bruxelles – ULB)
Films :
Jean Fonteyne, Autour du Borinage (1933 – 36)
Jean-Luc Godard et Jean-Pierre Gorin, Tout va bien (1972)