Rassemblement contre la précarité & l’isolement – Acte III Bruxelles
Non, la jeunesse n’a pas été entendue.
Les récentes mesures ressorties du conseil de concertation de ce vendredi 5 mars sont tout bonnement insuffisantes et ne reprennent même pas un dixième de nos revendications. Le gouvernement lâche des mesures au compte-goutte, là où des jeunes, des travailleu.r.ses, des étudiant.e.s sont tout simplement en train de mourir, subissant de fait un choix politique qui privilégie l’économie à la santé, soit comme nous le disions : « Jeunesse sacrifiée au profit du PIB ».
Les récentes mesures ressorties du conseil de concertation de ce vendredi 5 mars sont tout bonnement insuffisantes et ne reprennent même pas un dixième de nos revendications. Le gouvernement lâche des mesures au compte-goutte, là où des jeunes, des travailleu.r.ses, des étudiant.e.s sont tout simplement en train de mourir, subissant de fait un choix politique qui privilégie l’économie à la santé, soit comme nous le disions : « Jeunesse sacrifiée au profit du PIB ».
Les politiques ont déjà démontré de nombreuses fois leur incompétence à gérer des problématiques aussi cruciales que nos vies. C’est pourquoi nous nous organisons, pourquoi nous continuons et continuerons encore à nous rassembler tous les lundis, à témoigner, à créer des solidarités, dans chaque ville, dans chaque université, chaque haute école, jusqu’à que nos vies et nos revendications soient considérées !
ue tu sois étudiant.e ou non, rejoins dès maintenant la lutte et le groupe organisateur de ta ville en nous contactant ! Nous appelons par ailleurs tous.te.s les élèves du secondaire à se joindre à nous aussi.
BRUXELLES : A 15h, ULB Solbosch, avenue Paul Héger.
Nos revendications :
Une réouverture avec des mesures hybrides des université et hautes écoles et une reprise des activités culturelles et sportives.
Une hausse des moyens financiers et humains des enseignant.e.s, du personnel administratif et du personnel d’entretien.
Une prise de décision démocratique entre les professeur·e·s, assistant·e·s et les étudiant·e·s quant aux modalités d’apprentissage et d’évaluation.
Des bourses spéciales COVID, l’extension du chômage temporaire aux étudiant·e·s jobistes, le salaire étudiant, la rémunération de tous les stages et une baisse exceptionnelle des loyers demandés aux étudiant·e·s.
Un accès à un soutien psychologique gratuit et une réelle information sur ce sujet sur les différents campus des écoles et universités.
Un refinancement du secteur de l’enseignement et d’autres secteurs publiques sous-financés par la mise en place d’une taxe pour les grandes entreprises
Une concertation des étudiant·e·s quant aux décisions gouvernementales prises dans le cadre de la gestion de la crise.
Une plus grande aide pour les étudiant·e·s en Ba1.
Un allègement de la matière évaluée pour les étudiant·e·s.
Une hausse des moyens financiers et humains des enseignant.e.s, du personnel administratif et du personnel d’entretien.
Une prise de décision démocratique entre les professeur·e·s, assistant·e·s et les étudiant·e·s quant aux modalités d’apprentissage et d’évaluation.
Des bourses spéciales COVID, l’extension du chômage temporaire aux étudiant·e·s jobistes, le salaire étudiant, la rémunération de tous les stages et une baisse exceptionnelle des loyers demandés aux étudiant·e·s.
Un accès à un soutien psychologique gratuit et une réelle information sur ce sujet sur les différents campus des écoles et universités.
Un refinancement du secteur de l’enseignement et d’autres secteurs publiques sous-financés par la mise en place d’une taxe pour les grandes entreprises
Une concertation des étudiant·e·s quant aux décisions gouvernementales prises dans le cadre de la gestion de la crise.
Une plus grande aide pour les étudiant·e·s en Ba1.
Un allègement de la matière évaluée pour les étudiant·e·s.