Chères amies,
Chers amis,
Dans le cadre de notre projet « Décolonisation de la pensée », nous avons le plaisir de vous inviter à participer à l’activité « Accoucher – Parir : Journée interculturelle d´Art et de Naissance, un regard décolonial pour venir au monde ».
Lors de cette rencontre, nous aurons le plaisir d’accueillir les membres de trois collectifs venus d’Équateur et du Pérou : Collectif Yama, Collectif Maizal et Collectif Chawpi – laboratoire de création.
À l’intersection entre création artistique et audiovisuelle, éducation populaire et recherche socio-antropologique, ces trois collectifs nous proposent un regard critique sur la question ontologique de la naissance et les tensions post-coloniales, entre tradition et modernité — essentiellement dans un contexte andin.
Au sein de leur travail autour du corps, du genre, la résistance et de la mémoire, elles/ils nous livreront leur vision sur la question de l’accouchement et cela à partir d’une intervention théâtrale, la projection d’une série de courts-métrages, une performance sonore, ainsi qu’au travers d’un échange/débat avec le public.
Au plaisir de vous voir nombreuses et nombreux !
Date : mercredi 27 juillet 2022
Heure : 18h
Lieu : Centre Socioculturel Garcia Lorca
rue des Foulons 47 – 1000 Bruxelles
https://www.facebook.com/projeunes/
Entrée gratuite !
INSCRIPTION OBLIGATOIRE SUR L’EMAIL : projets@projeunes.be
« ACCOUCHER — PARIR est une rencontre d’art en communauté qui vise à générer un dialogue entre les espaces rituels de la cosmovision ancestrale andine et la création scénique, générant ainsi différents regards et manières de comprendre l’accouchement.
Le projet est né de la nécessité de partager et d’échanger diverses méthodologies, pratiques, outils et expériences qui nous permettent d’articuler et de remettre en question l’idée de création.
Nous pensons que la naissance est un phénomène qui nous permet de générer des dialogues interculturels et de comparer les différents contextes et langues dans lesquels ils se déroulent.
En raison de la pandémie, nous constatons la nécessité de valoriser les savoirs locaux à un moment de crise et de distanciation dans les hôpitaux, ainsi que de rendre visibles les pratiques et la créativité traditionnelles et locales face à un système qui homogénéise et conditionne la manière de venir au monde ».