mardi 24 février 2015 à 20h UPJB rue de la Victoire, 61 — 1060 Bruxelles
Café politique : Quel danger pour les femmes dans un contexte de crise ?
Le Mardi 24 février à 20:00 — 22:00
Rue de la Victoire, 61, 1060
La revue Politique et Points critiques, revue de l’UPJB, vous proposent un cycle de cafés politiques de janvier à juin.
Avec Valérie Lootvoet, directrice de l’Université des Femmes, et Yves Martens du Collectif contre l’exclusion.
L’animation sera prise en charge par Jean-Jacques Jespers.
A quelques jours de la Journée internationale des femmes, nous nous pencherons sur la situation des femmes face aux crises actuelles. Les mesures d’austérité mises en place par les gouvernements sont prises sans tenir compte de la dimension “genre”. Résultat, les femmes en sont les premières victimes que ce soit en termes de mesures d’exclusion du chômage, de réduction des budgets de la santé, de pause carrière… En plus de ces mesures, on voit surgir en Europe des tentatives de réduction des droits des femmes, comme en Espagne, par exemple. Comment réagir face à ces mesures ? Comment lutter pour mieux tenir compte des impacts directs ? Mais, dans le même temps, les contextes de crise ont parfois permis aux femmes de se rassembler et de réclamer ensemble des améliorations. Alors, les crises, vrai danger pour les femmes ou opportunité ?
2015 : année de tous les dangers ? Ou quand les peurs guident les décisions…
Les crises que traversent nos sociétés suscitent de nombreuses inquiétudes. Face à ces inquiétudes, les réactions peuvent varier et se transformer en peur. Des peurs qui peuvent être entretenues, amplifiées voire suscitées, de manière voulue ou non, par des discours et décisions politiques. Les retombées des attentats de Paris viennent confirmer ce constat : si l’exclusion peut engendrer le pire, la peur, elle, est bien mauvaise conseillère.
31 mars 2015 “La culture fait-elle peur ?”
28 avril Avril 2015 “L’école doit-elle avoir peur de l’entreprise ?”
26 Mai 2015 “Pourquoi l’Islam fait-il peur ?”
23 Juin 2015 “La peur, mauvaise conseillère ?”