Programme du webinaire :
– Les mouvements de solidarité avec les peuples palestinien et sahraoui :
Pierre Galand, Président du Comité belge de soutien au peuple sahraoui, et de l’Association BelgoPalestinienne ;
– La cause sahraouie et palestinienne : vidéos d’introduction ;
– La question sahraouie et la « Marche verte » : Omar Mih, Représentant du Front Polisario en Belgique ;
– Les questions sahraouie et palestinienne dans le droit internationale : Eric David, Professeur émérite de droit international à l’ULB
Pour participer à cette visioconférence, veuillez envoyer un e‑mail à : comitebelge.saharaoccidental@gmail.com
En cherchant Sahara occidental sur Wikipédia, vous pourrez lire ceci :
« Ancienne colonie espagnole, territoire revendiqué à la fois par le Maroc, la Mauritanie et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD) proclamée par le Front Polisario (Front populaire de Libération de la Saguia el Hamra et du Rio de Oro) en 1976 ».
« Depuis 1979 (année de la signature du traité de paix entre le Front Polisario et la Mauritanie) le Maroc occupe et contrôle 80% du territoire tandis que le Front Polisario en contrôle 20% laissés par le Maroc derrière un longue mur militaire de sable, le mur de la honte de deux mille sept cents vingt kilomètres de long », avec environ 6 millions de mines antipersonnelles implantées tout au long du mur par l’armée marocaine. Cette zone est considérée aujourd’hui parmi les zones les plus dangereuses du monde. L’histoire est en réalité plus complexe et mouvementée.
Un référendum sur l’autodétermination des peuples promis au peuple sahraoui par l’ONU en 1960, et en 1991, n’a jamais été organisé. Suite à la « marche verte » en 1975, le Maroc envahit la région. Une guerre s’en suit, avec son lot de bombes au Napalm sur la population civile sahraouie, de prisonniers, de réfugiés et de morts.
« Ancienne colonie espagnole, territoire revendiqué à la fois par le Maroc, la Mauritanie et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD) proclamée par le Front Polisario (Front populaire de Libération de la Saguia el Hamra et du Rio de Oro) en 1976 ».
« Depuis 1979 (année de la signature du traité de paix entre le Front Polisario et la Mauritanie) le Maroc occupe et contrôle 80% du territoire tandis que le Front Polisario en contrôle 20% laissés par le Maroc derrière un longue mur militaire de sable, le mur de la honte de deux mille sept cents vingt kilomètres de long », avec environ 6 millions de mines antipersonnelles implantées tout au long du mur par l’armée marocaine. Cette zone est considérée aujourd’hui parmi les zones les plus dangereuses du monde. L’histoire est en réalité plus complexe et mouvementée.
Un référendum sur l’autodétermination des peuples promis au peuple sahraoui par l’ONU en 1960, et en 1991, n’a jamais été organisé. Suite à la « marche verte » en 1975, le Maroc envahit la région. Une guerre s’en suit, avec son lot de bombes au Napalm sur la population civile sahraouie, de prisonniers, de réfugiés et de morts.
En lisant ces quelques lignes, on ne peut s’empêcher de penser à la Palestine. Suite à des guerres, les frontières du pays sont définies par de nombreux accords et résolutions de l’ONU jamais appliqués et ni respectés, ceint par un mur, colonisé, en cours d’annexion, avec son quota de prisonniers, de réfugiés et de déplacés.
Le 18 mai, la Plateforme Palestine Watermael-Boitsfort et le Comité belge de soutien au peuple sahraoui ont le plaisir de vous inviter à une soirée consacrée à un parallèle entre ces deux régions, les dernières colonies occupées, mettant en évidence ce qui les rapproche et les différencie.