Une séance organisée par le STEKI dans le cadre du cycle “LUTTES COLONIALES”
Les mouvement décoloniaux, d’une actualité brûlante, deviennent incontournables pour arriver à saisir les enjeux de la situation présente, belge, européenne ou mondiale. Les fronts décoloniaux sont multiples et leurs héritages s’enracinent pour certains dans plusieurs siècles d’histoire. Qu’ils soient européens, américains ou africains, ils se déclinent sous diverses formes, dans des milieux divers et selon des stratégies différentes. Ils se densifient et s’organisent de plus en plus à l’échelle internationale. Leurs grilles d’analyses et leur champ lexical commencent à s’imposer, des universités aux plateaux télé. Pourtant, ils restent un angle mort de la quasi totalité du spectre politique francophone, extrême-gauche comprise. Ce week-end prendra la forme d’un séminaire, dans une tentative d’y voir plus clair.
La liste des invités est encore en cours d’élaboration. Avec (sous réserve) Luis Martinez Andrade et Guillermo Klozlowski pour l’Amérique du Sud, Bruxelels Panthères et Nadia Fadil pour l’Europe, Amzat Boukari pour l’Afrique, Véronique Clette-Gakuba et Selma Benkhelifa pour la décolonisation des savoirs et des imaginaires, Elise Gonthier-Gignac sur la pensée de la différence.
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le cycle du Steki : “LUTTES COLONIALES”
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