Au banquet des riches, nous avons dénoncé les acteurs de la crise : le monde politique complice du monde des affaires.
A la veille de la mise en oeuvre des mesures contre les travailleurs sans emploi, nous voulons dénoncer les conséquences de la crise lorsque ce sont ceux qui l’ont causées qui prétendent la résoudre.
La logique d’accumulation de profits dicte des mesures qui punissent les personnes les moins responsables de la crise. Plutôt que de diminuer les écarts sociaux à l’origine de la crise, le gouvernement Di Rupo, comme la plupart des gouvernements européens à travers leurs plans d’austérité, choisit de les accentuer cruellement en détricotant les acquis sociaux. C’est injuste et ça approfondit la crise.
Mercredi 31 octobre, à 9h, nous organisons un petit rassemblement symbolique, avenue de Stalingrad, au mégaphone.
L’étape suivante sera le 14 novembre, un cap significatif vers la grève générale européenne !
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