Aussi à Bruxelles, nous voulons donner un signal par rapport à ce qui se passe en Italie : CASI-UO, Apriamo i Porti, Emergency, FILEF, ANPI, Arci, l’Associazione culturale Antonio Gramsci Bruxelles, Invisibili in Movimento et Culture contre Camorra vous invitent à participer à une ressemblement devant l’ambassade d’Italie pour dire assez aux morts en Méditerranée.
Les personnes qui quittent la Turquie, la Libye ou la Tunisie sont obligées de le faire au péril de leur vie en raison de l’absence de voies d’accès sûres et légales au territoire européen. Les gouvernements n’ont concentré leurs efforts que sur la prévention des départs, obligeant ceux qui fuient la guerre, les persécutions et la pauvreté à se tourner vers les trafiquants. Si les personnes mortes en mer devant Cutro avaient pu demander et obtenir un visa humanitaire, elles n’auraient pas risqué leur vie. S’il y avait eu un programme européen ou italien de recherche et de sauvetage, elles n’auraient pas risqué leur vie.
S’il y avait eu un programme européen ou italien de recherche et de sauvetage, ce terrible naufrage aurait pu être évité.
Les responsabilités des autorités compétentes seront examinées par la justice. Mais ceux qui ont des responsabilités politiques, et en premier lieu le gouvernement, ne peuvent pas renverser la réalité et se décharger sur les victimes du poids d’un massacre qui a coûté la vie à plus de 70 personnes, dont des enfants, qui auraient pu et dû être sauvées. Le temps est venu de dire assez et d’arrêter les massacres.
Plusieurs demandes ont été formulées, notamment une enquête sérieuse pour faire la lumière sur ce qui s’est passé et la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les massacres aux frontières. En outre, nous demandons la mise en œuvre immédiate d’un programme européen de recherche et de sauvetage en Méditerranée et l’activation de visas humanitaires dans le cadre du règlement européen sur les visas, afin de permettre aux personnes fuyant la guerre et la violence de franchir les frontières européennes en toute sécurité et en toute légalité.
en toute légalité. Nous demandons également l’activation de toutes les voies d’accès complémentaires, à commencer par les réinstallations, les corridors et autres formes de parrainage, ainsi que l’expansion des voies d’entrée régulières, sans utiliser ces outils pour justifier les politiques de fermeture et de rejet déléguées aux gouvernements des pays tiers. En outre, nous demandons l’arrêt de toutes les initiatives et programmes d’externalisation des frontières et la promotion d’accords bilatéraux conditionnés par le respect des droits humains et non par le contrôle des flux migratoires.
Les personnes qui quittent la Turquie, la Libye ou la Tunisie sont obligées de le faire au péril de leur vie en raison de l’absence de voies d’accès sûres et légales au territoire européen. Les gouvernements n’ont concentré leurs efforts que sur la prévention des départs, obligeant ceux qui fuient la guerre, les persécutions et la pauvreté à se tourner vers les trafiquants. Si les personnes mortes en mer devant Cutro avaient pu demander et obtenir un visa humanitaire, elles n’auraient pas risqué leur vie. S’il y avait eu un programme européen ou italien de recherche et de sauvetage, elles n’auraient pas risqué leur vie.
S’il y avait eu un programme européen ou italien de recherche et de sauvetage, ce terrible naufrage aurait pu être évité.
Les responsabilités des autorités compétentes seront examinées par la justice. Mais ceux qui ont des responsabilités politiques, et en premier lieu le gouvernement, ne peuvent pas renverser la réalité et se décharger sur les victimes du poids d’un massacre qui a coûté la vie à plus de 70 personnes, dont des enfants, qui auraient pu et dû être sauvées. Le temps est venu de dire assez et d’arrêter les massacres.
Plusieurs demandes ont été formulées, notamment une enquête sérieuse pour faire la lumière sur ce qui s’est passé et la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les massacres aux frontières. En outre, nous demandons la mise en œuvre immédiate d’un programme européen de recherche et de sauvetage en Méditerranée et l’activation de visas humanitaires dans le cadre du règlement européen sur les visas, afin de permettre aux personnes fuyant la guerre et la violence de franchir les frontières européennes en toute sécurité et en toute légalité.
en toute légalité. Nous demandons également l’activation de toutes les voies d’accès complémentaires, à commencer par les réinstallations, les corridors et autres formes de parrainage, ainsi que l’expansion des voies d’entrée régulières, sans utiliser ces outils pour justifier les politiques de fermeture et de rejet déléguées aux gouvernements des pays tiers. En outre, nous demandons l’arrêt de toutes les initiatives et programmes d’externalisation des frontières et la promotion d’accords bilatéraux conditionnés par le respect des droits humains et non par le contrôle des flux migratoires.
Il est temps de dire stop à toutes les formes d’instrumentalisation politique et d’arrêter les massacres !