La coopérative d’édition “pour écrire la liberté” organise le vendredi 17 janvier à 19h30,
à l’espace Delvaux à Watermael-Boitsfort,
une conférence-débat avec
Riccardo Petrella et Paul Jorion
Aujourd’hui déjà, 147 firmes transnationales contrôlent 40% de la finance et de l’économie mondiale et 737 en contrôlent 80%.(1)
Quel sera encore demain le rôle des États si le monde des affaires s’affirme de plus en plus autoritaire, si on assiste au formatage des esprits en matière d’économie dans les écoles et universités, si la démocratie monétaire est menacée par les monnaies digitales, si le capitalisme spéculatif remplace le capitalisme d’accumulation appuyé sur l’économie réelle…
Ces évolutions subies nous mènent-elles inévitablement vers une nouvelle crise financière mondiale ? L’expérience de 2007/2008 n’a‑t-elle servi à rien ? Quelle réponse les démocraties devront-elles avoir si le scénario effrayant se réalise ? Les peuples rembourseront-ils une fois de plus les dettes accumulées par les spéculateurs ou seront-ils victimes de guerres créées par la folie des puissances transnationales ?
(1)(Une étude de l’Institut Polytechnique de Zürich