Palestine, ceux qui gardent la clé

FR - 45 min 37

Cinq por­traits d’artistes dans les ter­ri­toires occu­pés, qui s’expriment sur leur enga­ge­ment et leur com­bat, et la néces­si­té abso­lue de main­te­nir une culture vivante dans ce conflit qui les oppose à l’armée d’Israël.

Un docu­men­taire de Ron­nie Ramirez
2003, 48 min

palestine-83188.jpg
En Pales­tine, des écoles sont fer­mées, des centres cultu­rels sac­ca­gés : pein­tures lacé­rées, livres troués par les balles, ins­tru­ments de musique détruits par la guerre. Ce film veut dénon­cer la volon­té de déra­ci­ner un peuple, mais aus­si et sur­tout témoi­gner de la ferme volon­té des artistes de résis­ter à cette ten­ta­tive d’effacement. Cinq por­traits d’artistes dans les ter­ri­toires occu­pés, qui s’expriment sur leur enga­ge­ment et leur com­bat, et la néces­si­té abso­lue de main­te­nir une culture vivante dans ce conflit qui les oppose à l’armée d’Israël.

Le film s’organise selon une évo­lu­tion en deux par­ties thé­ma­tiques. La pre­mière par­tie concerne les artistes et leurs pro­blèmes dans ce cli­mat de guerre, com­ment ils pensent le monde et com­ment ils se voient eux-mêmes. La deuxième par­tie concerne le tra­vail fait avec les enfants. C’est prin­ci­pa­le­ment les com­pa­gnies de théâtre INAD et Ash­tar qui sont impli­quées, ain­si que Yacoub, un ani­ma­teur d’une émis­sion de télé­vi­sion pour enfants. Des scènes sépa­rées rythment le film. La visite d’un centre cultu­rel dévas­té à Beth­léem, un autre fil­mé à Ramal­lah, une visite dans les décombres de la télé­vi­sion locale de Ramal­lah, ain­si que d’autres scènes fil­mées à Jénine.

EN LIEN :